1968

Le Consortium, rue Quentin, Dijon (organisation)
17 octobre-30 décembre 1992.

Au Consortium :
  • Lettre ouverte du 6 juin 1968 (Marcel Broodthaers)
    Marcel Broodthaers, Gretchen Faust, Cady Noland.
  •  Dematerialization of the Art Object (Lucy Lippard)
    Robert Barry, Felix Gonzalez-Torres, Scott Grodesky, Sam Samore, Haim Steinbach, Lawrence Weiner.
  •  The Xerox Book (Seth Siegelaub)
    Carl Andre, Robert Barry, Douglas Huebler, Joseph Kosuth, Sol LeWitt, Robert Morris, Lawrence Weiner.
  •  A Sedimentation of Mind ; Earth Projects (Robert Smithson)
    Gloria Friedmann, Paul-Armand Gette, Robert Gober, Peter Halley, Peter Hopkins, John Miller.
  •  Antiform (Robert Morris)
    Art and Language, Steve Di Benedetto, Thomas Grünfeld, Imi Knoebel, Olivier Mosset, Steven Parrino, Michael Scott.
  •  Il PCI ai Giovanni (Pier Paolo Pasolini)
    Alighiero e. Boetti, Luciano Fabro, Jannis Kounelis, Pino Pascali, Michelangelo Pistoletto.
 Au Fonds Régional d’Art Contemporain de Bourgogne :
  • Theoreme
    Diane Arbus, John Armleder, Christian Boltanski, Hans Haacke, On Kawara, Olivier Mosset, Andy Warhol.
 Au Consortium/L’Usine :
  • Prospekt/Retrospekt 1968
    Vito Acconci, Daniel Buren, Hubert Duprat, Alfredo Jaar, Jon Kessler, Jutta Koether, Bertrand Lavier, Barry Le Va, Sol LeWitt, Ken Lum, Bruce Nauman, Panamarenko, Mel Ramsden, Reiner Rüthenbeck, Richard Serra, Lily van der Stokker, Joan Wallace.
 Dans la rue :
  • Michael Corris

 

Fred Wilson : Mining the Museum

Maryland Historical Society, 201 West Monument Street, Baltimore.
3 avril 1992-28 février 1993.

Curators : Lisa Corrin, Assistant Director, Contemporary Museum, and Jennifer Goldsborough, Maryland Historical Society.

 » In a unique partnership, the Contemporary Museum and the Maryland Historical Society sponsored a two-month residency for installation artist Fred Wilson who was known at the time for creating mock museums consisting of reproductions of ethnographical artifacts. In this, his first museum project, Wilson’s working method at the Historical Society was, in effect, to « mine » the institution’s archives, permanent collection, and storage areas, and to present an exhibition of his own devising. In keeping with the Historical Society’s style of exhibition design, Wilson created an installation of the museum’s collection objects that recontextualized over 100 historical artifacts. Through striking juxtapositions, which included slave shackles encased with fine silver, a Ku Klux Klan hood presented in a baby carriage, and Victorian chairs placed around a whipping post, Wilson’s provocative installation raised urgent questions about the museum’s historical representation of African-American and Native-American experiences. Unearthing repressed meanings and untold narratives from Maryland’s visual past, Mining the Museum revealed how the documenting of history and the curating of artifacts could be understood as powerful acts of selection, exclusion, and interpretation, each requiring renewed self-awareness. »
(Source : The Contemporary Museum)

Il faut construire l’hacienda

CCC, Tours,
18 janvier-8 mars 1992

Commissaires : Nicolas Bourriaud, Alain-Julien Laferrière et Éric Troncy.

Catalogue :

Il faut construire l’hacienda, Tours, CCC, 1992. [320×240 mm, vues de l’exposition, textes de Éric Troncy et Nicolas Bourriaud.]

Citation :

« L’Hacienda célèbre discothèque britannique… L’Hacienda, telle qu’en son mythe initial, s’est surtout distinguée, à l’instar des grandes discothèques historiques (Le Palace, à Paris entre 1978 et 1983 par exemple) par sa propension chque soir à construire un espace social transversal où n’avait cours aucune des règles en vigueur dans le monde extérieur. […] Nous parlons ici d’artistes insensibles aux diktats de la morale, de la logique et des systèmes.
(Éric Troncy, in catalogue)

« Ce que j’appele ici, faute de mieux, le réalisme opératif, signifie donc la double appartenance d’une œuvre au domaine du fonctionnel et à celui de l’esthétique… »
(Nicolas Bourriaud, « Qu’est-ce que le réalisme opératif ? », in catalogue)

No Man’s Time

Villa Arson, centre national d’art contemporain, Nice,
6 juillet-30 septembre 1991

Commissaire général : Christian Bernard.
Commissaire de l’exposition : Éric Troncy.

Catalogue :

No Man’s Time, Nice, Villa Arson, 1991.
Textes de Christian Bernard, Nicolas Bourriaud, Sylvie Froux, Jean-Yves Jouannais, Éric Troncy.

Citation :

« No Man’s Time n’est pas fondée sur un concept ni basée sur un projet théorique précis. Cette exposition n’entend rien prouver, ni dénoncer. Ce n’est ni un pari sur l’avenir ni une synthèse de l’actualité. No Man’s Time est un spectacle. »
(Éric Troncy, Flash Art, n° 161, novembre-décembre 1991.)

World Soup

Küchenausstellung
Schwalbenstrasse 10, St. Gallen.
juillet-septembre 1991

Commissaire : Hans Ulrich Obrist

Christian Boltanski, Peter Fischli & David Weiss (programme radio), Frédéric Bruly-Bonaloré, Richard Wentworth, Hans-Peter Feldmann (œufs en marbre et des plumes dans le frigo), Paul-Armand Gette (intervention dans les toilettes), Niele Toroni (empreintes dans l’entrée), Bertrand Lavier (peinture sur la vitre), Niele Toroni a fait des empreintes dans l’entrée, Leni Hoffmann (intervention sous le lit), Dominique Gonzalez-Foerster (sur le miroir de la salle de bain)…

L’exposition eut lieu dans la cuisine de Hans Ulrich Obrist, alors étudiant.

Publication :

World Soup : Küchenausstellung 1991, Munich/Stuttgart, Oktagon, 1993.
1 chemise (320 x 242 mm) contenant 10 fascicules.
Introduction en allemand et en anglais. Exposition en allemand et en français.
Contient : « Plats du jour » de Christian Boltanski (brochure de 6 p.), « L’art de la cuisine » de Frédéric Bruly Bouarbé (brochure de 12 p. en français et en allemand et 3 cartes dessinées en couleur comprises dans un sachet en parchemin), « Katalog » de Hans-Peter Feldmann (brochure de 20 f.), « Nymphaea alba L. » de Paul-Armand Gette (carte), « Messer » de C.O. Paeffgen (fac-similé), « Fässer » de Roman Signer (brochure de 12 p.), « Photoabzüge » de Richard Wentworth (7 photogr. coul.) et « Coop » de Peter Fischli et David Weiss (prospectus).

Catalogue de l’exposition World Soup : Küchenausstellung :
Portfolio en papier jaune qui contient un autre portfolio illustré d’une photgraphie en noir et blanc de Pierre Leguillon-St.Maur contenant un catalogue dont la couverture est également illustrée d’une photographie en noir et blanc de Pierre Leguillon-St.Maur et les contributions de 9 artistes.. Tiré à 400 ex.

Le Désenchantement du monde

Villa Arson, Nice,
7 juillet-30 septembre 1990.

Commissaire : Christian Bernard.

Artistes :

Judith Batolani et Claude Caillol, Buchal & Clavel, Clegg & Guttmann, Peter Fischli et David Weiss, Georg Herold, Mike Kelley, Jon Kessler, Martin Kippenberger, Meuser, Joachim Mogarra, Harald F. Müller, a.r. penk, Peter Weibel, Heimo Zobernig.

French Kiss

Halle Sud, Genève
3 mai-17 juin 1990
(Directrice : Renate Cornu)

Commissaire : Éric Troncy

Artistes :

Pierre Bismuth, Maris Bourget, Laurent Faulon, Dominique Gonzalez-Foerster, Pierre Huyghe, Bernard Joisten, Pierre Joseph, Stéphane Lallemand, Claude Lévêque, Philippe Parreno, Philipe Perrin, Valérie Pigato, Xavier Veilhan.

Catalogue :

French Kiss, Genève, Halle Sud, 1990.

Laurie Parsons

Carton d’invitation:

« Lorence-Monk Gallery.
578 Broadway, New York City, New York 10012 Téléphone 212/431-3555. »

Mai 1990.

« Arrivé par courrier, le carton annonçant l’exposition était complètement blanc. Le nom de la galerie, Lorence-Monk, son adresse et numéro de téléphone avaient été imprimés au bas du carton. Il n’y avait pas de dates d’exposition ou de vernissage, et son nom ne figurait pas sur la carte. Si vous trouvez une copie de sa bio, vous ne trouverez pas mention de l’exposition. Elle fera plus tard remarquer qu’il lui avait juste semblé « plus juste que faux » de la laisser de côté. En y repensant, je me rappelle que la galerie avait été repeinte et l’éclairage réagencé. Les cartons « vierges » trônaient sur le bureau de la réception, mais le nom de l’artiste, comme on s’y attendrait normalement, n’avait pas été inscrit sur un mur à proximité. En tout état de cause la galerie était complètement vide? Il y avait dans le bureau, si je ne m’abuse, un livre de diapositives contenant de la documentation sur les travaux antérieurs de Parsons, is à la disposition des personnes exprimant leur intérêt ou leur confusion, comme beaucoup d’entre elles, naturellement. Il y avait un communiqué de presse, dont j’ai gardé une copie. Il dit succintement:

« Au cours du mois de mai, l’espace d’exposition de la Galerie Lorence-Monk, 578 Broadway sera ouvert au public. L »exposition’ est placée sous l’égide de Laurie Parsons. Lors de sa dernière exposition à Lorence-Monk en 1988, Mme Parsons a présenté en l’état une série d’objets trouvés. Depuis, elle s’est tournée vers des ‘environnements’ entiers. » »

(Bob Nickas, « Au sujet de Laurie Parsons, 578 Broadway, 11e étage, mai 1990 »,  in catalogue de l’exposition Vide, Paris, Centre Georges Pompidou, 2009, p. 117.)

 

Ozone « Vers une écologie du regard »

Un projet de Dominique Gonzalez-Foerster, Bernard Joisten, Pierre Joseph, Philippe Parreno.

APAC, centre d’art contemporain, Nevers
14 octobre-16 décembre 1989

Histoires de musée

Musée d’art moderne de la Ville de Paris
23 juin-15 octobre 1989

  • Salles de l’ARC : Cécile Bart, Marie Bourget, Daniel Buren, IFP, Claude Rutault, Felice Varini, Michel Verjux.
  • Entrée du musée : Philippe Cazal
  • Rez-de-chaussée Haut : Bertrand Lavier, Gérard Collin-Thiébaut, Jean-Luc Vilmouth.
  • Auditorium : Sarkis.
  • Rez-de-chausée bas : Jean-Michel Alberola, Jean-Pierre Bertrand, Sophie Calle, Robert Combas, Bernard Frize, Bertrand Lavier, Ange Leccia, Annette Messager, Claude Rutault, Sarkis, Niele Toroni, Jacques Vieille.
  • Sous-sol – réserves : Christian Boltanski.

Bestiarium. jardin théâtre

Bernard Bazile, Glenn Branca, James Coleman, Irene Fortuyn/O’Brien, Ludger Gerdes, Dan Graham, Rodney Graham, Marin Kasimir, Christian-Philipp Muller, Juan Munoz, Hermann Pitz, Rüdiger Schöttle, Alain Séchas, Jeff Wall.

Commissaire : Chris Dercon
Exposition conçue à partir d’un texte poétique de Rüdiger Schöttle

  • PS1, New York
    janvier 1989
  • Le Confort Moderne, Poitiers
    29 septembre-9 décembre 1989.
  • Casino des expositions, Séville
    juin 1989