Archives pour la catégorie Expo personnelle

Fred Wilson : Mining the Museum

Maryland Historical Society, 201 West Monument Street, Baltimore.
3 avril 1992-28 février 1993.

Curators : Lisa Corrin, Assistant Director, Contemporary Museum, and Jennifer Goldsborough, Maryland Historical Society.

 » In a unique partnership, the Contemporary Museum and the Maryland Historical Society sponsored a two-month residency for installation artist Fred Wilson who was known at the time for creating mock museums consisting of reproductions of ethnographical artifacts. In this, his first museum project, Wilson’s working method at the Historical Society was, in effect, to « mine » the institution’s archives, permanent collection, and storage areas, and to present an exhibition of his own devising. In keeping with the Historical Society’s style of exhibition design, Wilson created an installation of the museum’s collection objects that recontextualized over 100 historical artifacts. Through striking juxtapositions, which included slave shackles encased with fine silver, a Ku Klux Klan hood presented in a baby carriage, and Victorian chairs placed around a whipping post, Wilson’s provocative installation raised urgent questions about the museum’s historical representation of African-American and Native-American experiences. Unearthing repressed meanings and untold narratives from Maryland’s visual past, Mining the Museum revealed how the documenting of history and the curating of artifacts could be understood as powerful acts of selection, exclusion, and interpretation, each requiring renewed self-awareness. »
(Source : The Contemporary Museum)

Laurie Parsons

Carton d’invitation:

« Lorence-Monk Gallery.
578 Broadway, New York City, New York 10012 Téléphone 212/431-3555. »

Mai 1990.

« Arrivé par courrier, le carton annonçant l’exposition était complètement blanc. Le nom de la galerie, Lorence-Monk, son adresse et numéro de téléphone avaient été imprimés au bas du carton. Il n’y avait pas de dates d’exposition ou de vernissage, et son nom ne figurait pas sur la carte. Si vous trouvez une copie de sa bio, vous ne trouverez pas mention de l’exposition. Elle fera plus tard remarquer qu’il lui avait juste semblé « plus juste que faux » de la laisser de côté. En y repensant, je me rappelle que la galerie avait été repeinte et l’éclairage réagencé. Les cartons « vierges » trônaient sur le bureau de la réception, mais le nom de l’artiste, comme on s’y attendrait normalement, n’avait pas été inscrit sur un mur à proximité. En tout état de cause la galerie était complètement vide? Il y avait dans le bureau, si je ne m’abuse, un livre de diapositives contenant de la documentation sur les travaux antérieurs de Parsons, is à la disposition des personnes exprimant leur intérêt ou leur confusion, comme beaucoup d’entre elles, naturellement. Il y avait un communiqué de presse, dont j’ai gardé une copie. Il dit succintement:

« Au cours du mois de mai, l’espace d’exposition de la Galerie Lorence-Monk, 578 Broadway sera ouvert au public. L »exposition’ est placée sous l’égide de Laurie Parsons. Lors de sa dernière exposition à Lorence-Monk en 1988, Mme Parsons a présenté en l’état une série d’objets trouvés. Depuis, elle s’est tournée vers des ‘environnements’ entiers. » »

(Bob Nickas, « Au sujet de Laurie Parsons, 578 Broadway, 11e étage, mai 1990 »,  in catalogue de l’exposition Vide, Paris, Centre Georges Pompidou, 2009, p. 117.)

 

John M. Armleder, Premier étage, 5, rue Vignier

Carton d’invitation :

john m armleder
premier étage
5, rue vignier, genève
du 19 novembre 1980 au
1er février 1981
sur rendez-vous
galerie marika malacorda
(022) 28 64 50

 

Robert Barry: « Invitation Piece »

Cartons d’invitations:

« Paul Maenz invites you to an exhibition by Robert Barry at Art & Project, Amsterdam, during the month of November 1972 ”

« art & project invites you to an exhibition by robert barry at jack wendler gallery, london, during the month of december 1972 »

« Jack Wendler invites you to an exhibition by Robert Barry at Leo Castelli Gallery, New York during the month of January, 1973 »

« Leo Castelli invites you to an exhibition by Robert Barry at Yvon Lambert Gallery/Paris, during the month of February 1973 »

« Yvon Lambert invites you to an exhibition by Robert Barry at Galerie MTL Brussels during the month of March 1973 »

« Galerie MTL invites you to an exhibition by Robert Barry at galleria Toselli, Milan, during the month of April 1973 »

« Galerie Toselli invites you to an exhibition by Robert Barry at galleria Sperone, Turin during the month of may 1973. »

« Gian Enzo Sperone invites you to an exhibition by Robert Barry at Paul Maenz, Cologne, during the month of June 1973
Gian Enzo Sperone annuncia la mostra di Robert Barry presso Paul Maenz Colonia durante il mese di giugno 1973 »

Commentaire de Robert Barry:

« Les cartons d’invitation ont été expédiés par les galeries pendant l’exposition de quelqu’un d’autre […] C’était un cercle. Il n’y avait aucune œuvre de moi dans les galeries, juste les annonces, les piles de cartons vous invitant à l’exposition suivante. »
(Robert Barry, entretien avec Mathieu Copeland, catalogue de l’exposition Vide, Paris, Centre Georges Pompidou, 2009, p. 91.)

Robert Irwin

Carton d’invitation:

Robert Irwin
Ace LA.
October 1970
« Please note: The Gallery space will be empty for a period of 1 month (October), for Robert Irwin to visit the space daily to conceive the different possibilities of artworks for the space. »

Claude-Marie Dubufe : Adam et Éve et Le Paradis perdu

Peintre d’histoire et de portrait, Claude-Maris Dubufe, peint Adam et Éve et Le Paradis perdu en 1827. Ces deux très grands tableaux (307 x 250 cm chacun) sont immédiatement exposés au Salon. En 1829, ils sont montrés à Londres. En 1832, ils sont acquis par les frères Brette qui les prêtent pour une exposition itinérante et payante dans diverses villes américaines, et ceci jusqu’en 1838.

Liste des expositions

Paris, Salon de 1927 (n° 1640 et 1641)
Londres, Royal Academy (Somerset House), 1829-1830

Tournée américaine :

Boston, Athenæum Gallery, 24 octobre-fin décembre 1832
New York, American Academy, 31 décembre 1832-2 mars 1833
Philadelphie, Masonic Hall, 15 mai-16 juillet 1833
Baltimore, Assembly Rooms, 9 décembre 1833-Janvier 1834
Charleston, Academy of Fine Arts, 27 janvier-5 mars 1834
Augusta et Savannah, 14 mars-9 avril 1834
Baltimore, 13-27 mai 1834
Boston, Harding’s Gallery, 9 août-18 octobre 1834
Nouvelle Orléans, Stevenson’s Large Room, 6 janvier-10 avril
New York, American Academy, 1836 et 1838

Retour en Angleterre :

Londres, Exeter Hall, avril 1838
Liverpool, Exhibition Rooms, 1838

Exposition de répliques :

New York, National Academy of Design, janvier 1849
Worcester (Mass.), 1849

Source des informations et des documents reproduits

Claude-Marie Dubufe. Adam et Éve et Le Paradis perdu, catalogue de l’exposition (27 mars-10 mai), rédaction Cyrille Sciama, Nantes, Musée des beaux-arts, 2009.